| | qu'es que les brigades interntionales? | |
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Franck Admin
Messages : 889 Date d'inscription : 18/03/2010 Age : 44 villeneuve le roi
| Sujet: qu'es que les brigades interntionales? Lun 29 Nov 2010 - 21:02 | |
| Les Brigades internationales les plus connues[1] sont celles qui, sous le nom espagnol de Brigadas Internacionales, se sont battues au côté des Républicains contre les rebelles nationalistes, lors de la guerre civile espagnole, entre 1936 et 1938. Elles étaient composées de volontaires antifascistes venant de 53 pays différents[2]. On estime que ces volontaires furent au nombre d'environ 59 000, dont 15 000 moururent au combat ; il n'y avait cependant jamais plus de 20 000 brigadistes présents sur les fronts de la guerre civile au même moment.
Les brigades avaient leur quartier général sur la base aérienne de Los Llanos, à Albacete. Les volontaires participèrent aux combats du Jarama, de Guadalajara, de Brunete, de Belchite, de Teruel, du front d'Aragon et de l'Èbre. Ils furent retirés et dissous par le gouvernement espagnol à partir du 23 septembre 1938, afin de souscrire aux exigences du Comité de Non-intervention.
Les brigadistes ne représentaient cependant pas l'ensemble des volontaires étrangers engagés aux côtés des Républicains espagnols. Plusieurs, par anti-stalinisme, rejoignirent plutôt
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| | | Franck Admin
Messages : 889 Date d'inscription : 18/03/2010 Age : 44 villeneuve le roi
| Sujet: Re: qu'es que les brigades interntionales? Lun 29 Nov 2010 - 21:06 | |
| Les brigadistes ne furent ni les premiers ni les seuls volontaires étrangers à se battre en Espagne en faveur de la République. Dès les premiers jours du coup d'Etat militaire de juillet 1936, des étrangers, principalement des Français, franchissent les Pyrénées afin de participer aux combats : certains intègrent par exemple la colonne Durruti. André Malraux, avec le soutien implicite de Pierre Cot, ministre de l'Air français, constitue une escadrille aérienne, qu'il appelle España. D'autres sont déjà présents sur le sol espagnol au moment des événements de juillet et se rallient au gouvernement légal : ce sont généralement des Allemands et des Italiens qui ont fui les dictatures fascistes de leur pays et ont trouvé l'asile en Espagne. Mais ces troupes sont extrêmement dispersées et peu organisées. On compte enfin quelques 200 à 300 volontaires issus des rangs des athlètes réunis à Barcelone pour les Olympiades populaires, programmées entre les 19 et 26 juillet 1936, en protestation contre les JO de Berlin, mais interrompues par le coup d'État des 17 et 18 juillet 1936. Les athlètes participèrent aux combats de rue de la capitale catalane et à la prise de l'hôtel Colón, près des Ramblas. Mais la plupart d'entre eux quittèrent l'Espagne dès le 24 juillet. Ces premiers volontaires étrangers se rassemblent au sein d'unités originales, portant le nom de héros du siècle passé, tel que le bataillon « Walery Wroblewski », héros de la Commune de Paris, ou le bataillon « Tom Mann », un socialiste anglais. C'est en septembre 1936, apparemment à la suggestion de Maurice Thorez, secrétaire du Parti communiste français, et avec l'accord du NKVD, que Willy Münzenberg, chef de la propagande du Komintern pour l'Europe occidentale, propose à Staline la création d'une organisation internationale de volontaires afin d'aider la République espagnole. L'idée est de recruter le plus largement possible, des communistes évidemment, mais aussi des anarchistes, des socialistes ou de simples compagnons de route. Dans un premier temps, Staline reste favorable à la neutralité, afin de ne pas se brouiller avec ses « alliés objectifs » français et britanniques, animateurs du Comité international pour la non-intervention depuis le 26 août 1936. Mais les communistes trotskistes l'accusent de faire le « jeu du fascisme » et finalement Staline décide de soutenir publiquement les républicains : le 17 octobre 1936 est publiée dans le Mundo Obrero, organe du Parti communiste espagnol, une lettre ouverte de Staline à José Díaz Ramos, secrétaire général du même parti, dans laquelle il affirme publiquement son soutien C'est le Komintern qui est chargé de superviser l'organisation des Brigades internationales, et ses membres sont omniprésents. Le bureau de recrutement, qui est actif depuis le 18 septembre, est basé à Paris, sous la direction du général soviétique d'origine polonaise Karol "Walter" Świerczewski. Le ministère de la Défense soviétique décide d'apporter l'aide matérielle, tandis que le Parti communiste français doit fournir des uniformes aux brigadistes. C'est le Yougoslave Tito qui est chargé d'assister les volontaires originaires d'Europe orientale. Mais dans l'ensemble, l'organisation reste mal assurée : l'improvisation se retrouve d'un point de vue administratif, puisqu'ils n'ont aucun contrat, et la durée de leur engagement n'est pas non plus définie. Les volontaires sont envoyés par train ou bateau de France en Espagne, tandis que d'autres traversent la frontière par leurs propres moyens. Les premières unités ne suivent qu'un entraînement rudimentaire et sont engagées dans la défense de Madrid, assiégée depuis le 8 novembre, dans le secteur de la Casa de Campo. Ils sont amalgamés aux défenseurs espagnols dans la proportion d'un homme pour quatre, dans le but de les soutenir moralement et de transmettre leur expérience militaire. Par la suite, l'organisation s'améliore. Les brigadistes rejoignent Albacete, en Castille, qui devient rapidement le siège du quartier général des Brigades internationales. Ils y reçoivent l'aide du comité d'organisation de la División Orgánica de Albacete, créée le 23 octobre par le président du gouvernement Francisco Largo Caballero, afin de subvenir aux besoins des brigadistes. Les dirigeants, stationnés sur la base aérienne de Los Llanos, sont tous issus du Komintern : André Marty est nommé commandant, Luigi Longo, surnommé Gallo, est inspecteur général, et Giuseppe Di Vittorio, surnommé Nicoletti, est le chef commissaire politique. Les brigadistes sont répartis en plusieurs camps, éparpillés dans les villages de La Roda, Tarazona de la Mancha, Villanueva de la Jara et Madrigueras. La discipline y est extrême : les brigadistes subissent un entraînement militaire poussé et restent enfermés plusieurs semaines, le temps de leur formation.Les motivations sont multiples. Chez les Italiens, les Allemands et autres Européens venant de pays contrôlés par des gouvernements répressifs, le combat en Espagne est vu comme une première étape pour restaurer la démocratie ou promouvoir une cause révolutionnaire dans leur propre pays. Chez les Français, la proximité joue à plein. Les volontaires font l'analogie entre les gouvernements de Front populaire français et espagnol, et entre les menaces militaro-nationalistes française et espagnole. Il semble cependant que l'antifascisme ne fut pas l'unique motivation. Nombre de brigadistes ne souhaitaient pas défendre la « démocratie bourgeoise », mais la révolution prolétarienne et la mise en place d'un État ouvrier. Enfin, quelque 500 communistes qui avaient été exilés en URSS sont envoyés en Espagne : leur expérience miltaire était appréciable : parmi eux on retrouve en effet des chefs militaires qui se sont illustrés lors de la Première Guerre mondiale, comme Manfred « Kléber » Stern, Wilhelm « Gomez » Zaisser, Máté « Lukacs » Zalka et Janos « Gal » Galicz, qui représentent une valeur inestimable dans le combat). Les motivations peuvent être parfois plus prosaïques. On retrouve également beaucoup de chômeurs, et les aventuriers [url=[url=https://servimg.com/view/15066616/88] [/url | |
| | | Franck Admin
Messages : 889 Date d'inscription : 18/03/2010 Age : 44 villeneuve le roi
| Sujet: Lorsque Franco mène son putsch fasciste Lun 29 Nov 2010 - 21:14 | |
| http://fr.wikipedia.org/wiki/Brigades_internationalesLorsque Franco mène son putsch fasciste, nombreuses sont les personnes désireuses de venir contribuer à la lutte des peuples de l'Etat espagnol. Sont très vites organisées les Brigades Internationales, qui naissent en juillet 1936 à Prague en Tchéquoslovaquie, générées par l'Internationale Communiste et le Profintern (L'internationale Syndicale Rouge). Chaque Parti Communiste doit alors organiser les volontaires dans leur propre pays et les premiers brigadistes s'installent à Albacete le 14 octobre 1936. http://documents.actionantifasciste.fr/histoaxan/histobi.html | |
| | | Franck Admin
Messages : 889 Date d'inscription : 18/03/2010 Age : 44 villeneuve le roi
| Sujet: Re: qu'es que les brigades interntionales? Lun 29 Nov 2010 - 21:20 | |
| Dès le mois d'août 1936, en dépit des accords dits de non intervention, l'Allemagne nazie et l'Italie fasciste soutiennent activement les troupes de Franco. Celui-ci proclame qu'il prendra Madrid avant le 12 octobre. La passivité des pays démocratiques indigne les antifascistes du monde entier. Le 1er octobre 1936, le premier noyau de volontaires appelés à former les Brigades Internationales arrive à Alicante. On en comptera 35.000 accourus d'Europe et d'Amérique pour défendre la jeune République Espagnole. 10.000 d'entre eux y feront le sacrifice de leur vie. http://espana36.voila.net/brigades/brigade1.htm | |
| | | Franck Admin
Messages : 889 Date d'inscription : 18/03/2010 Age : 44 villeneuve le roi
| Sujet: Re: qu'es que les brigades interntionales? Lun 29 Nov 2010 - 21:26 | |
| poème écrit dans le camp de concentration d’Argelés. Nous ne savons qui est l’auteur de ce poème : [url= ][ | |
| | | Marie CO/ADMINS
Messages : 4 Date d'inscription : 13/08/2010
| Sujet: Re: qu'es que les brigades interntionales? Lun 29 Nov 2010 - 21:26 | |
| Bonsoir,
petite rectification... Les brigadistes étaient engagés a partir de 1936 jusqu'en février 1939. Ils furent pratiquement tous internés dans des camps dès leurs passages à la frontière en février 1939
Marie | |
| | | Franck Admin
Messages : 889 Date d'inscription : 18/03/2010 Age : 44 villeneuve le roi
| Sujet: Re: qu'es que les brigades interntionales? Lun 29 Nov 2010 - 21:34 | |
| Au premier abord, une absence totale de charisme. Dépourvu de séduction physique, même dans sa jeunesse, maladroit et timide, doué d’une voix de fausset un peu ridicule, privé d’éloquence, il a su pourtant susciter des dévotions qui ont provoqué 1 million de morts pendant la Guerre Civile Espagnole et 500 000 exilés. Son goût du pouvoir s’est accompagné d’un narcissisme croissant. L’image de Franco était partout. Le culte de la personnalité, pratiqué par le régime franquiste, concernait la chanson, la poésie, les images et les sons. L’inscription Francisco Franco, Caudillo de España por la gracia de Dios ornait les pièces de monnaie. Selon les dernières recherches d’un groupe d’historien de l’Université de Séville, on estime à plus de 550 000 le nombre de prisonniers politiques incarcérés par Franco entre 1939 et 1943 : détenus en prison, camp de concentration, bataillons disciplinaires, travaux forcés etc... Un des plus terribles camps, dans lequel périrent des milliers de prisonniers, est celui du Valle de los Caidos, à proximité de Madrid, où le dictateur fit ériger un mausolée pharaonique surmonté d’une gigantesque croix de 150 mètres de haut. En 1975, selon sa volonté, Franco fut enterré en ce sinistre lieu au fond d’une profonde crypte. Il y repose encore aujourd’hui. Chaque 20 Novembre les fidèles du franquisme se rassemblent pour honorer sa mémoire et celle de Primo de Rivera. Trente ans après sa mort, l’Espagne n’a pas encore fait le bilan historique de cette époque. De nos jours, il suffit de se promener dans les rues des villes d’Espagne pour voir des noms tels : Plaza del Generalísimo, Caídos de la División Azul (division de 45000 hommes qui s’est battue à côté de nazis), Avenida del general Franco ou Plaza de los Caídos por España. Franco, réputé pour sa chance à passer au travers des ennuis, semble encore bénéficier d’une « baraka » de l’Histoire. Des livres, comme ceux de Pio Moa, des associations, des radios (COPE) ... essayent, encore de nos jours, de le présenter comme le sauveur de l’Espagne face au péril rouge, et somme toute comme un dictateur tout à fait présentable. Mais tous les dictateurs se ressemblent, épuration, camps, racisme, censure..., ce qui les sépare c’est la puissance de nuire des pays qu’ils dirigent. Les fascistes ne se trompent pas en le reconnaissant comme un de leur grand héros. Les pétainistes se retrouvent au Valle de los Caidos. Peut-on imaginer Pétain enterré au Panthéon, un mausolée pour Hitler ? Un film récent sur les derniers jours de Hitler ( La Chute de Oliver Hirschbiege ) est critiqué car il présenterait le côté humain de celui-ci. Mais n’est ce pas un faux débat, car les dictateurs fascistes sont bien des Homo Sapiens, et c’est pour cela qu’ils sont dangereux : ils sont responsables et coupables. Si les amis de Franco, Hitler, Mussolini, Pétain, Pinochet ... font l’unanimité contre eux, Franco échappe à l’opprobre, il bénéficie d’une image de respectabilité. Beaucoup d’Espagnols préfèrent occulter cette période de leur Histoire par peur de faire revivre les drames de la guerre. Quarante ans de propagande franquiste ont contribués à re-écrire l’Histoire. Pour les exilés, il est difficile d’oublier que Franco leur a pris des proches, leur langue, leur pays. Trente après sa mort qu’il faille encore prouver que Franco était un dictateur fasciste montre bien que le devoir de mémoire est un long labeur. [url=[url=https://servimg.com/view/15066616/90][img] https://i.servimg.com/u/f66/15/06/66/16/centel10.jpg[/img[url=[url=https://servimg.com/view/15066616/91] [/url | |
| | | Franck Admin
Messages : 889 Date d'inscription : 18/03/2010 Age : 44 villeneuve le roi
| Sujet: Re: qu'es que les brigades interntionales? Lun 29 Nov 2010 - 21:37 | |
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| | | Franck Admin
Messages : 889 Date d'inscription : 18/03/2010 Age : 44 villeneuve le roi
| Sujet: Re: qu'es que les brigades interntionales? Lun 29 Nov 2010 - 21:38 | |
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| | | Franck Admin
Messages : 889 Date d'inscription : 18/03/2010 Age : 44 villeneuve le roi
| Sujet: Re: qu'es que les brigades interntionales? Lun 29 Nov 2010 - 21:39 | |
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| | | Marie CO/ADMINS
Messages : 4 Date d'inscription : 13/08/2010
| Sujet: Re: qu'es que les brigades interntionales? Lun 29 Nov 2010 - 21:47 | |
| Merci Franck pour tout les liens
Marie | |
| | | Franck Admin
Messages : 889 Date d'inscription : 18/03/2010 Age : 44 villeneuve le roi
| Sujet: Re: qu'es que les brigades interntionales? Lun 29 Nov 2010 - 21:49 | |
| je suis heureux de te voir en ligne marie,tu nous manques aussi j espere te voir avec nous plus souvent,je parle aux noms de l'equipes. | |
| | | Franck Admin
Messages : 889 Date d'inscription : 18/03/2010 Age : 44 villeneuve le roi
| Sujet: Re: qu'es que les brigades interntionales? Lun 29 Nov 2010 - 21:50 | |
| Les brigades dites internationales mais en fait staliniennes Un fait qui a été l'objet de nombreux arrangements avec la réalité. En particulier, on oublie que les premiers qui sont partis en Espagne pour combattre dans le camp républicain l'ont fait pour rejoindre les anarchistes (dont la colonne Cerrutti) et les poumistes qui étaient anti-staliniens et qui ont été combattus par les Brigades internationales et le NKVD qui opérait aussi en Espagne en contrôlant le SMI. Ce n'est que quelques semaines, après le congrès du Komintern, le premier procès de Moscou et le début de la Grande terreur, que l'URSS décidera d'intervenir en Espagne. L'appui de l'URSS sera dès le début contre paiement car l'Union soviétique recevra 500 tonnes d'or de la Banque d'Espagne. La propagande sur les Brigades internationales cache la réalité d'une “Légion étrangère” du Komintern. Derrière les paillettes, le vrai but des Brigades internationales, la constitution d’un Etat de type soviétique sur la péninsule ibérique. Servant un régime terroriste, celui de l'Union soviétique et voulant instaurer le même en Espagne, proclamer que les brigadistes étaient les héros de la liberté, montre l'ampleur de l'imposture! Mais le rouleau compresseur de la propagande de l'Union soviétique et de ses nombreuses filiales ou agents, fait perdurer cette tromperie. Ceci bien précisé, la propagande fait que le terme "brigades internationales" désignent les troupes composées essentiellement de communistes militants ou sympathisants dont le commandement et la police politique, comme Marty, le boucher d'Albacete, ont toujours été aux ordres de Staline. Aussi, présenter les brigadistes comme les combattants de la liberté est tout-à-fait faux puisqu'ils servaient la dictature soviétique et en Espagne, la mainmise de l'URSS sur le camp républicain. La terreur soviétique d'étendait aussi en Espagne et ce qui a été présenté à tort comme les purges de 1937-38 a provoqué l'assassinat de milliers de volontaires soupçonnés d'être trotskistes ou "éléments peu fiables". En fait, des partis communistes ont forcé certains à se rendre en Espagne pour qu'ils y soient liquidés discrètement. On attend que le juge Garzon face des recherches pour trouver les fosses communes où reposent les restes de victimes de la terreur stalinienne en Espagne, en particulier autour d'Albacette. Parmi ces "disparus", le Suisse Raymond Kamerzin que le parti communiste suisse a forcé à se rendre en Espagne dont il n'est jamais revenu! Un parmi des milliers désignés par des commissions secrètes à l'intérieur des partis communistes membres du Komintern qui, sur ordre de Moscou, ont dû faire des listes désignant les "éléments douteux" dans leur pays respectif ou qui se trouvaient en Union soviétique. Les personnes ainsi pointées étaient soit envoyées en Espagne pour y être abattue ou, quand elles résidaient en URSS, étaient arrêtées pour être déportés ou fusillées. La terreur soviétique touchait toute l'Europe! Tout ce contexte est évidemment totalement oublié par ceux qui ont écrit sur la "Guerre civile espagnole" ou qui agissent pour célébrer les brigadistes dont de nombreux ont servi l'horreur soviétique à l'insu de leur plein gré. Alors mettre dans le même sac les Suisses brigadistes et ceux qui ont rejoint le camp républicain est une offense pour ces derniers. C'est hélas ce que l'amnistie de tous a fait de manière scandaleuse. De plus, l'hypothèse selon laquelle les communistes auraient eu intérêt à sauvegarder la démocratie en Espagne, ne tient pas compte du fait que le communisme n'est pas une idéologie démocratique, mais totalitaire, et que comme telle, elle ne prévoit pas le partage du pouvoir. Des milliers d'Espagnols dont Andreas Nin l'ont payé de leur vie! De plus, il y a tout ceux qui ont disparus en URSS après leur retour d'Espagne comme le Suisse Ernst Schacht, pilote d'avion! Curieusement quand Zapatero demanda de faire de recherches sur la période de la guerre civile, personne en faire n'alla à Albacete, le QG des Brigades internationales, où des centaines de “volontaires” furent fusillés par Marty et Togliatti. -------------------------------------------------------------------------------- Pitoyable témoignage du brigadiste Eolo Morenzoni qui a servi Saline et pas le peuple. Les questions posées à Eolo Morenzoni vont à l'essentiel, ce qui met ce communiste mal à l'aise. Intoxé par la propagande, ayant gobé tous les grands mensonges de Lénine et Staline, niant l'horreur vécue par le peuple soviétique, Eolo Morenzoni n'a pas le courage de reconnaître qu'il s'est gravement trompé! Le stalinien Morenzoni évoque ses idéaux de justice et de liberté en oubliant le tragique sort du peuple soviétique!!! Morenzoni n’aurait pas perdu ses idéaux de justice et de liberté alors que depuis 1936 a servi et été complice du monstrueux Staline, ennemi du peuple tout autant que de la justice et de la liberté. Evidemment la gauche communiste, négationniste des millions de crimes communistes, avec en tête Rémy Pagani qui remet une médaille au nom de la Ville de Genève le 30 janvier 2010, cire les pompes de ces «idiots utiles», opération qui perpétue l'amnésie des crimes bolchéviques. La propagande organisée par Staline continue de tromper Les brigades internationales selon Loly Bolay-Cruz. ! Evidemment soutenir Staline dont le but était de prendre le pouvoir par le sang sur le gouvernement républicain, but atteint en main 1937, est oublié pour rendre hommage aux «800 Suisses, ces hommes et ces femmes qui ont personnifié l'honneur et le respect des valeurs démocratiques qui constituent le fondement de notre société moderne.» Les limites de l'honnêté bien franchies, cette socialiste affirme que la Suisse de l'époque aurait la plus dure contre ces "combattants de la liberté" parmi les états démocratiques. Ainsi, on oublie l'URSS, état négation de la démocratie depuis octobre 1917, où la plupart de ceux qui ont servi en Espagne ont été fusillés, sort qui s'abattit également sur les réfugiés espagnols dès 1940. Alors affirmer que ces «idiots utiles» qui ont servi l'ennemi du peuple Staline aient aussi servi à, je cite, l'indépendance espagnole, tout cela est une double imposture avec, comme toujours, l'oubli et l'abandon des millions de victimes du régime soviétique, en majorité des ouvriers et des paysans! Les brigades internationales selon Jérôme Béguin, et son parti “Les communistes” (Genève), reprennent la mythologie composée par Staline pour cacher le coup de poignard dans le dos que fut l'«aide soviétique». La stratégie définie à Moscou et chantée par les communistes dont Dolorès Ibarruri fut le chef d'orchestre, fût de faire émouvoir sur quelques brigadistes afin d'oublier toute vision d'ensemble qui aurait dévoilé la réalité. Passons sur ce tissus de mensonges pour mettre en évidence le dernier, le plus gros: «La Suisse, qui est le seul pays à avoir condamné ses ressortissants ayant combattu en Espagne, n’a toujours pas réhabilité les brigadistes.» En fait, c'est à moitié faux: la plupart des Soviétiques envoyés en Espagne (Brigades internationales, NKVD, conseillers militaires, agents du GRU, etc) ont été fusillés ou déportés au goulag, mais certains ont été réhabilité après le XXe congrès du PCUS. Le réseau agissant pour la réhabilitation des Suisses qui ont participé comme volontaires à la guerre civile espagnole poursuit son lobbying. Evidemment, on ne fait de distinction entre ceux qui ont servi les Brigades internationales, c'est-à-dire Staline et ceux qui ont rejoint les anarchistes ou poumistes. Ainsi, en novembre 2008, Staline a encore en Suisse un groupe qui sert toujours sa politique espagnole, un coup de poignard dans le dos de la République. L'imposture et la falsification de l'histoire a réussi le 2 novembre 2008 car le Conseil national suisse tombe dans l'imposture de réhabiliter «les quelque 800 volontaires qui ont quitté la Suisse à partir de l'été 1936 pour combattre avec l'Espagne républicaine.» Mais ceux qui ont rejoint les Brigades internationales ont combattu contre l'Espagne républicaine! Encore une victoire de Staline dont les complices ont été nombreux en Suisse, particulièrement au sein du parti socialiste! En avril 2009, la CGAS organise une soirée commémorative avec le dernier Brigadiste genevois Eolo Morenzoni. A-t-il servi Staline qui a poignardé le camp républicain? La liste de Pascal Holenweg mélange ceux qui ont rejoint la Légion étrangère de Staline et ceux qui ont lutté réellement aux côtés de la République espagnole. http://www.fonjallaz.net/Communisme/Memo/Espagne/BI/index.html | |
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